Chapitre 3 : Les grand esprits se rencontrent

Publié le par The Crazy Apple

http://www.tourmonde.fr/photos/homeG/548.jpg

PDV externe

Deux jeunes personnes sont allongées dans leur lit, le souffle court. Elles pensent à l’autre, qui leur a fait autant d’effet. Elles se demandent pourquoi ils sont si chamboulés.

Lui veut garder la face. Il pense à sa vie, se dit qu’à part le travail, il n’a rien réussit. Sa famille et son meilleur ami, c’est tout ce qu’il lui reste. Et à part avec eux, il se comporte comme un vrai salop avec les autres. Il ne s’aime pas. 

Elle, pourtant si calme d’ordinaire, ne fait que se retourner dans son lit. Elle pleure, parce que pour la première fois depuis la mort de ses parents, elle se sent faible.

Edward veut Bella et vice versa. Mais ils ont tous deux peur de cette faiblesse, et pour leur bien se disent-ils, ils se relèvent, et se remettent à leur occupations habituelles, essayant de ne plus penser à son voisin ou à sa voisine.

Alice tournait encore et encore dans la petite pièce fermée. Elle pensait à lui. Comment pouvait-elle encore le supporter ?! Elle n’en savait rien.

Jasper était arrogant, trop sûr de lui, dragueur en série et hypocrite par-dessus le marché. Comme Edward. Alice réfréna cette pensée.

Elle aimait son frère et il fallait faire avec. Même si elle savait qu’au fond il était adorable. « Dégage ou je te vire personnellement ! » La phrase tournait en boucle dans la tête de la jeune femme. Comment, mais comment bon Dieu Jasper pouvait-il être si arrogant, détestable et en même temps si … séduisant ? Comment Edward pouvait avoir ce … demeuré comme ami ?!

Non, décidément elle ne comprenait pas ; elle secoua la tête, ses cheveux noirs corbeaux hérissés voletant en l’air. Elle se leva de son lit et choisit avec un automatisme effrayant sa tenue du soir, une longue robe noire de chez Chanel. Alice sourit : si il y avait au moins une chose qui ne l’avait jamais trahit, c’était bien ses vêtements ! Se redressant, elle se cogna la tête contre la porte de son dressing, accentuant au passage son mal de tête. Ce soir était le grand soir : elle allait voir son frère et lui dire les choses en face.

La jeune fille était sûre de trois choses, malgré le chaos qui régnait dans son cerveau :

-Primo, elle haïssait Jasper Whitlock

-Secondo, elle était ATTIREE par lui – contre son gré, hélas – ce qui faisait deux sentiments complètement contradictoires

-Et tersio, si elle ne se dépêchait pas un peu plus, elle allait être en retard à son rendez-vous avec son frère, qui allait lui faire passer un mauvais quart d’heure si elle n’arrivait pas à 8 heure pile au restaurant.

Alice sortit donc promptement de son appartement et héla le premier taxi qui lui tomba sous les yeux, pria le ciel pour qu’il n’y ai pas de bouchon.

 


« Bella n’est pas venue aujourd’hui » pensait avec ferveur le jeune homme.

«  Peut être que je me fais des idées. »

Il n’espérait pas.

« Peut être ne m’aime t’elle pas. »

Il ne voulait pas y croire.

«  Ou du moins pas de la même façon que moi ».

Jacob se prit la tête dans les mains. Comment pouvait-il aimer autant cette femme ?!

 


« Aéroport de New-York, vente de tickets, bonjour. Que puis-je pour vous ? » demanda la femme qui tenait la ligne téléphonique.

« Bonjour » déclara une voix claire et féminine de l’autre côté du téléphone «  Je voudrais réserver un billet d’avion pour … l’Afrique du Sud. »

«  Bien, nous avons pas mal de vols. C’est pour aujourd’hui ? »

L’interlocutrice réfléchit puis annonça : « Non, dans deux jours si possible ».

« Bien » La standardiste tapa sur son clavier quelques instants, puis annonça l’heure des avions à destination de la capitale, Le Cap. Environ sept minutes plus tard, le billet était réservé, au nom d’Isabella Swan.

 


« Allo, monsieur le directeur ? »

« Oui, que puis-je pour vous ? »

«  C’est Isabella. »

«  Oh, Bella ! Comment vas-tu ?

«  Je voulais vous prévenir, même si les vacances scolaires commencent dans 4 cinq jours, que je ne serais pas là les deux derniers jours. Motif ... Personnel »

«  Bien, pas de problème. Merci d’avoir prévenu ! »

«  Au revoir, Monsieur le directeur »

« Au revoir, Mademoiselle »

 


2 jours plus tard

« En vue de notre proche atterrissage, nous vous prions de bien vouloir regagner votre siège, merci. »

Isabella soupira. Décidément, les avions, c’était bien pratiques, mais pour le reste – consignes de sécurité, nourriture, etc … - elle n’aimait pas vraiment ça.

Mais partir lui faisait du bien ; elle sortait de cette longue période éprouvante. Et ça te fera oublier Edward pense la petite voix dans sa tête. Edward …

Bella ferait tout pour l’oublier. Il la contrôle, et elle n’aime pas ça, mais alors pas du tout. Mais, enfin, l’avion se posa sur le tarmac et elle put descendre pour prendre le petit jet privé qui l’attendait.

Elle avait loué une suite pour deux semaines dans une réserve à environ quatre cent kilomètres de la capitale ; l’hôtel de la réserve, tenu par un riche américain nommé Antoine Winter, connu pour sa passion de la nature ( c’est là tout ce qu’elle savait de lui !  ), lui avait envoyé un jet privé pour qu’elle y accède sans encombres.

Lorsqu’elle aperçut son avion, elle fut soulagée ; elle s’attendait à un vieux coucou, mais en fait c’était un très joli petit engin, très sobre et très propre.


Quelqu’un – à priori un homme, mais le soleil empêchait Bella de le voir correctement – l’attendait devant la porte d’entrée, en lui faisant de grand signe. Elle accourut et eut de suite la confirmation que c’était un homme, un très bel homme de surcroit.


Il avait des cheveux bruns foncés, des yeux bleus. Il était grand, musclé. Mais ce ne fut pas cela qui fascina Bella ; c’était cette auréole de douceur et de bonté qui l’entourait. Elle cligna des yeux plusieurs fois, mais le conducteur de l’avion lui sourit et l’invita à entrer.

 

Lorsqu’elle attrapa sa main pour monter, elle reçut une forte décharge électrique.  

Comme avec Edward ?! hurla sa voix intérieur. « Oui, comme avec Edward » se désola t’elle silencieusement. Sans se départir de son beau sourire, le pilote l’entraîna à l’intérieur.


- Je m’appelle Antoine Winter, commença t-il, je suis le directeur de la réserve. Je serais votre guide pendant ces prochaines semaines.

 


----------------------------------------

Hey tout le monde !

Vous êtes encore là ? J'ai perdu personne en route ?

Non ? Tant mieux ^^

Sinon, ben merci pour votre soutien !

Comme vous vous en doutez, Antoine va entrer dans notre petite histoire ...

Je vous laisserais décourvrir comment !

XoXo,

The Crazy Apple


 

Publié dans Fanfiction

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
A
<br /> <br /> Waw, je découvre cette "fan fictin comme tu dis" par hasard, elle est super, j' adore ta manière d' écrire, un peu bizzz que bellz soit prof mais bon, je l' attaque tt de suite a chapitre siuvent<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
O
<br /> <br /> Salut, désolée ne pas être venue plus tôt ! <br /> <br /> <br /> Comme d'habitude, j'aime beaucoup ce chapitre, et honnêtement, j'ai rarement lu des fictions aussi bien écrites que la tienne !
Répondre
S
<br /> <br /> C'est qui ce Antoine ? Euh... bizarre c'est coup d'électricité.<br /> <br /> <br /> En tout cas j'ai pas envie qu'elle tombe amoureuse de ce Antoine.<br /> <br /> <br /> Et toujours pauvre Jake.<br /> <br /> <br /> Toujours bravo. c'est toujours aussi<br /> exelent.<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre